La profane comédie [2020]
Résumé Trois pièces d'un acte, avec comme fil conducteur le dévoilement de la face cachée de l'hypocrisie: sociale, révolutionnaire et politique.
Une infirmière d'Info santé caresse dans ses tréfonds un rêve: "Une pandémie libérera certes des trésors d'empathie chez un peuple... et elle sera au premier rang afin d'accélérer le processus".
Une assemblée d'urgence se tient à Montréal. Son objectif: aider financièrement la révolution 'pacifique et inclusive' de la Syrie. Tous accourent avec l'intention d'en tirer le maximum de profit.
Ariel Sharon est en rogne. Il se considère avoir été lésé. Son équivalent en pacifisme, Menahem Begin, avait eu le prix Nobel de la paix. Quant à lui, il a trépassé bredouille. Il se présente, en esprit, devant le comité de sélection du prix afin de les convaincre de le lui décerner posthume. Extrait « OUM RESLAN : Légère indiscrétion, mon brillant ... Ma mère, qu'Allah Élargisse sa tombe pour qu'elle s'y sente confortable, disait: ' Chaque homme intelligent a une femme assortie qui le pousse par le postérieur' ... L'intelligence, tu l'as ... Reste à connacirc;tre le statut d'adhésion de ton fessier. ZAKI : Antiadhésif ... jusqu'à nouvel ordre. OUM RESLAN: Le vieux aussi ? ZAKI: Exact. OUM RESLAN: Deux aberrations ... que je me donne la mission de réparer. ZAKI: On a beaucoup d'informations sur les Syriens d'ici ? OUM RESLAN: Ma mère, qu'Allah la Couve de son ombre le jour du jugement dernier, me surnommait : 'une fureteuse, emmerdeuse de nature'. » À propos de(s) l'auteur(s)
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